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Gros plan

Quelques anecdotes dont Flavio est le héros

Grâce à de précieux informateurs anonymes, nous avons réuni plusieurs anecdotes dont Flavio est le per-

sonnage principal. Nous remercions Marc, Robin, Kévin, David et Andi.

Encas diététiques reste de l’équipe ! DF et AB*
A la fin des entraînements, Flavio avait tou-

jours cette envie de McDonald’s, plus particulière- But volé
ment celui de Morat se trouvant sur son chemin
du retour. Durant toute la saison, nous avions
comme tradition de faire un repas d’équipe les
jeudis après l’entraînement. En général, deux
joueurs préparaient un petit souper chaud ou
froid afin de renforcer l’esprit d’équipe. Lorsque

cela a été le tour de Flavio et Kilian, car ils ont
repoussé à maintes reprises leur obligation, nous
ne savions pas à quoi nous attendre. De plus, Ki-
lian était blessé et ne pouvait pas forcément por-
ter des plats encombrants. Donc, à la fin de l’en-

traînement, nous étions dans l’expectative
puisque nous n’avions rien vu à l’arrière du ves-
tiaire et pensions que le souper n’aurait pas lieu. « On m’a volé un but », s’indigne Flavio à la fin
Finalement, Kilian est entré dans le vestiaire avec de la deuxième rencontre de play-off entre le HC
deux énormes sacs remplis de hamburgers prove- Uni et Saastal, à Brigue, le 13 février dernier. A
nant du lieu favori de Flavio. Plus de 50 de ces douze secondes de la fin de la partie, les Aigles

délices ont été dévorés pour un total dépassant profitent de la sortie du gardien valaisan pour
les 200 francs !!! Au grand plaisir de Flavio et du assurer leur victoire. Or ce but, marqué par Fla-
vio, est attribué à Jonathan Amstutz, alors sur le
banc. Et les arbitres n’ont pas corrigé cette er-
reur. PAC*

Match très bref
Depuis plusieurs saisons, Flavio peine à ren-
contrer Franches-Montagnes. En effet, il y joue un
adversaire qu’il n’apprécie pas beaucoup. Cette

rivalité frôle parfois l’animosité. Lors d’une ren-
contre de la saison écoulée, une action litigieuse a
marqué le tout premier shift de Flavio. De retour
sur le banc, il a déclaré, profondément frappé par
ce qu’il estimait une injustice : « On m’a sorti de

mon match ! ». Or, il restait tout de même 58 mi-

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